Sandrine Rousseau a demandé l'euthanasie en mariage !

Cette nouvelle a d'ores et déjà fait trembler les murs de l'Assemblée Nationale et du Sénat, tant elle fait polémique, moins de 3 jours après la déclaration officielle.

Le dimanche 15 septembre 2025, à 20 heures 17minutes et 35 secondes, Sandrine Rousseau demandait l'euthanasie en mariage.

C'est du moins ce qu'elle raconte dans son dernier post sur le réseau social Twitter (anciennement X).

Évidemment, dévoiler un aspect de sa vie privée, ça suscite des débats. Et là, ça n'a pas manqué. Bien sûr, on a cru d'abord à une blague, à une facétie de la part de la membre du parti Les Écologistes. Mais la rédaction s'est vite aperçu que tant de brio ne pouvait pas caractériser cette femme politique sans intelligence. Nous nous sommes alors dit que ChatGPT lui avait suggéré cette idée, avant de déchanter : jamais l'IA, que Rousseau utilise pourtant dans tous ses discours, n'aurait eu une idée aussi saugrenue.

Alors, il a fallu se rendre à l'évidence : la jeune sportive marocaine de 86 ans a été prise dans un accès de folie. Sans doute.

Sandrine Rousseau

Yannick Jadot, le premier, a réagi, suivi par Marine Tondelier. Les plus populaires des membres du parti se sont, pour une fois, exprimés librement, en toute sincérité. L'ancien candidat à la présidentielle a été assez virulent. "Demander en mariage est une idée de fachots. Nous sommes en train de perdre Sandrine, elle a été influencée par l'extrême droite. C'est fini pour elle", a-t-il affirmé. La secrétaire de ce qu'on appelait auparavant EELV a, de son côté, diminué l'ardeur de son camarade, tout en restant opposée à la déclaration dont nous parlons : "Notre camarade syndiquée Sandrine Rousseau ne voulait pas dire cela, mais elle a mal tourné sa pensée dans sa tête, sans remuer ni sa langue ni ses bras de droite à gauche. C'est une erreur de sa part".

Toute la gauche s'est exprimée, tour à tour pour défendre Rousseau ou pour la discréditer. Ainsi, Anne Hidalgo, maire de Paris, se positionne en faveur de la député écologiste : "Sandrine a le droit de parler de sa vie privée, mais nous n'avons pas le droit de nous exprimer pour la critiquer. C'est ça la liberté d'expression". De son côté, Fabien Roussel a lancé à son tour une nouvelle polémique. En effet, il accuse Sandrine Rousseau de "communisme immodéré", bien qu'il soit directeur du Parti Communiste Français. Rappelé à l'ordre par Jean-Luc Mélenchon, il a insulté celui-ci en précisant que Rousseau avait fait du "communisme Mélanchoniste, syndical et pro-russe".

La droite et le centre ont profité de cette bataille au sein de la gauche pour mieux tourner en dérision les politiques de l'aile opposée. Par exemple, Jordan Bardella a invoqué la droit des peuples à disposer d''eux même pour mieux dénigrer l'attitude lesbienne de Sandrine Rousseau. En effet, selon lui, "l'euthanasie est une femme", et, selon la Convention de Genève, les femmes sont interdites en France si elle ne portent pas le voile intégral. Sa position est donc assez obscure. C'est également le cas de celle de Jean Lasalle, dont nous n'avons hélas pas pu comprendre le discours. Le vieil homme parlait, comme d'habitude, dans sa barbe, et nous avons pu attraper quelques mots, comme "homosexualité", "gauche", "le" et "socialisme". Nos experts en traduction Lassallien-Français seront châtiés demain à l'aube pour n'avoir pas fait leur travail.

Gabriel Attal, ancien ministe et actuellement député, a approuvé le fait que Sandrine Rousseau ait choisi l'euthanasie et non l'avortement ou le cannabis. En effet, selon lui, "l'homosexualité est un facteur de diversité ethno-culturelle et socio-géographico-sociale". Bruno Retailleau, au contraire, a pris position contre la déclaration de Rousseau. "On épouse un être humain, pas un animal, une idée ou un concept", a-t-il précisé. Ce qui lui a valu la prison à vie : "C'est ça, la liberté d'expression", a expliqué Brigitte Macron après sa victoire à Roland-Garros en 3 sets.